Письмо космонавту

Moscou

Russie

Le 10 ème Mars

Bonjour,

Madame  Valentina Vladimirovna!

Une écolière écrit à vous. Je m'appelle Julie. J´ai 16 ans. Je fais mes études à l'école d´Iksha. Ma famille est grande : ma mère, mon père et mes grandparents. J'ai décidé de vous écrire cette lettre, parce que je vous admire. Moi je veux savoir tout. Comment  notre planète a-t-elle l´air de l'espace ? Quel sens, sentiment avez vous quand vous voliez, mangeriez du tube, marchiez sur la Lune, nagiez dans l'espace ?

Je suis fière beaucoup d´avoir telle femme comme vous dans mon pays.

Je lisais beaucoup de votre vol à l'espace. Le général - lieutenant Nikolay Petrovich Kamaninov qui s'occupait de la sélection et de la préparation des cosmonautes, a décrit dans son interview tellement votre départ : "… la préparation de la fusée et toutes les opérations du service ont passé exceptionnellement correct. Cela m'est rappelé le départ de Gagarine. Comme le 12 avril 1961, le 16 juin 1963 le vol se préparait et a commencé parfaitement bien. Tous, qui voyaient Terechkova pendant la préparation du départ et la conclusion de la  fusée pour l'orbite, qui écoutaient ses exposés à la radio, ont déclaré à l´unanime :« elle a fait le départ mieux que Nikolaev.». Oui, je suis très contente, que je ne me trompe pas du choix de la première femme - cosmonaute!"

Aussi je voudrais apprendre votre opinion des problèmes de la société moderne. En effet, notre Terre au danger... L’eau que nous buvons, l’air que nous respirons, sont en voie de disparition. Des centaines d’espèces animales ont déja disparu, nous ne les reverrons jamais plus. D’autres espèces, comme l’ours, ne comptent plus qu’un petit nombre de bêtes. Et que deviennent les animaux rares chassés pour leur fourrure? Il y en a de moins en moins... Les espèces végétales sont moins nombreuses chaque année.  En détruisant la forêt, l’homme détruit la terre. Sur une terre sans arbres, l’eau coule plus vite, creuse les fosses... et bientôt emporte cette terre. Par example, un navire vide son pétrole en pleine mer. Quelques jours après, la mer apporte sur les côtes des milliers de poissières qui ne servent à rien. Tout cela forme un brouillard dangereux... Souvent, on ne s’aperçoit pas de cette lente destruction de la nature. Nous sommes tous coupables. Il faut nous arrêter avant qu’il ne soit trop tard...

      Je compte, que vous ne laissez pas ma lettre sans attention. Je compte sur votre soutien. Je vous prie d’agréer mes meilleures salutations.

                                                                                                                               Avec mes respectueuses salutations,

Julie