Презентация о жизни и творчестве французского художника Альфреда Сислея (12 слайдов)
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Alfred Sisley Kiseleva E. 9BСлайд 2
Sisley naît à Paris au 19 rue des Trois-Bornes , le 30 octobre 1839 de parents marchands anglais , établis dans la capitale française pour affaires. Son père, William Sisley, dirige une affaire d'importation liée à l'entreprise familiale basée à Londres. Sa mère, Felicia Sell, est plutôt attirée par la musique et la vie de société . En 1855, ses parents l'envoient à Londres, à l’âge de dix-huit ans pour le destiner à une carrière commerciale. Pendant ces années d'apprentissage ( 1857-1862), il passe plus de temps à visiter les musées qu'à sa formation commerciale, et admire particulièrement les œuvres de Constable et Turner. De retour en France en 1861, il obtient de ses parents l'autorisation d'abandonner les affaires et peut alors se consacrer à l’art.
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En octobre, il entre à l’atelier de Charles Gleyre, à l'École des beaux-arts de Paris, où il s'initie à la pratique du dessin et fait la connaissance de Renoir, Monet et Bazille, à l'Académie Suisse. Très vite, ils se lient d'amitié. La conception du paysage de Gleyre diffère trop de la perception qu'il en a et les quatre amis quittent l’atelier du maître, dès mars 1863, pour travailler en plein air et planter leur chevalet dans la forêt de Fontainebleau, à Chailly-en-Bière, Barbizon, ou encore Marlotte, ce qui le rapproche du groupe de Marlotte. Cette première expérience de travail de groupe, renouvelée notamment en juillet 1865, soude les quatre artistes, les stimule et annonce, l’année même où s’ouvre le premier Salon des refuses , leur combat prochain pour la nouvelle peinture impressionniste. Sa peinture de paysages délicats est influencée par Jean-Baptiste Camille Corot et Charles-François Daubigny. Il commence à peindre dans les environs de Paris. À partir de 1865, il va peindre les allées de châtaigniers à La Celle-Saint-Cloud avecBazille, réalisant ses premières toiles sur le motif dans les bois de La Celle-Saint-Cloud. Frédéric Bazille fit son portrait lors de l'hiver 1867-1868.
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Il fait la connaissance de Marie-Louise Adélaïde-Eugénie Lescouezec, jeune parisienne originaire de Toul, dans la Meurthe, qu'il épouse en 1866. Renoir peignit en 1869 Les Fiancés - Le Ménage Sisley , supposé représenter Sisley et sa femme (Wallraf Richartz Museum, Cologne). Marie Bracquemond les peint en 1880 : La promenade en bateau. Sisley et sa femme et Sous la Lampe : le couple Sisley dînant chez les Bracquemond à Sèvres. De leur union naîtront trois enfants, Pierre (né en 1867, il devint décorateur et antiquaire, resté célibataire il est mort en 1929 à Paris), Jeanne (née en 1869 qui deviendra M me Diets, aussi écrit Dietsh, et fut peintre et aquarelliste, morte le 4 février 1919 à Paris) et Jacques né en 1871 mort la même année. En 1871, Sisley peignit ses deux enfants, dans un salon, réalisant peut-être son seul portrait Grâce à la fortune de son père, il peut se consacrer à son art sereinement, n'ayant pas de problèmes financiers. Installé avec son épouse à Paris, il partage son temps entre le travail à l’atelier , les réunions informelles au café Guerbois, présidées par Édouard Manet, chef de file de la jeune génération de peintres, et où se retrouvaient des critiques ou des journalistes comme Louis Edmond Duranty, ou encore Émile Zola . Mais cette vie parisienne palpitante et source d’émulation, que Zola décrira très bien dans son roman L'Œuvre, inspirée volontairement de la vie des impressionnistes , Sisley la ponctuait inévitablement de séjours à la campagne, prétexte pour une peinture en plein air, dans les environs proches de Paris.
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Fin de vie (1896- 1899) Pendant les dernières années de sa vie (1897-1899) la santé de Sisley décline : il souffre de crises de rhumatismes très douloureuses. En décembre 1896 Georges Petit organise une grande rétrospective de l’œuvre de Sisley dans sa galerie rue de Sèze. L’artiste s’emploie à rassembler un maximum d’œuvres provenant des collections d’amateurs. Au total l’exposition ouvrira avec 46 peintures et six pastels. Seuls Arsène Alexandre et Adolphe Tavernier parleront de l’exposition et aucune toile ne sera vendue. L’expérience est douloureuse pour Sisley . En 1897, il est invité en Angleterre à Londres puis à Penarth près de Cardiff. Ce séjour est le dernier moment de grande création de l’artiste : il peint les falaises, les énormes rochers, les vagues… De retour à Moret, en novembre 1897 il souhaite se faire naturaliser français, et demande son aide à son ami Adolphe Tavernier. Mais la perte de certains papiers officiels ne lui permirent pas de réaliser rapidement son vœu de devenir citoyen français. Paradoxalement, celui des impressionnistes qui peignit le mieux les paysages de la Seine, du Loing et la douceur angevine allait s'éteindre anglais.
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Il vit à la limite de la misère. Son épouse tombe malade et meurt le 8 octobre 1898. Il est affecté et rien ne vient éclipser son découragement. Atteint d’un cancer de la gorge, son état empire. Il montre une forme de courage dans sa résignation. Des lettres à son docteur permettent de retracer jour après jour la fin de sa vie . Il écrit le 13 janvier : « Je suis rompu par la douleur… Je n’ai plus l’énergie de combattre… ». Il fait appeler Monet, lui recommande ses enfants et lui dit adieu. Il meurt le 29 janvier 1899 dans sa maison à Moret-sur-Loing et est enterré au cimetière de Moret le 1 er février par un temps gris et froid. Renoir, Monet et Adolphe Tavernier sont venus de Paris. Il est enterré auprès de son épouse. Sur leur tombe figure comme épitaphe une citation de Sisley : « Il faut que les objets soient enveloppés de lumière, comme ils le sont dans la nature. »
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Après sa mort En 1900, un an après seulement sa mort lors de la vente Adolphe Tavernier, le comte Isaac de Camondo achète l’inondation à Marly pour la somme considérable à l’époque de 43 000 francs, vendue par l’artiste à l’origine 180 francs. En 1911 il est le premier artiste impressionniste à recevoir l’hommage d’un monument commémoratif dans sa ville de Moret . On connait 960 huiles sur toile, 100 pastels et de nombreux autres dessins, produits par Sisley bien qu'il ne vécut que 59 ans. Un nombre impressionnant de faux Sisley ont été découverts. À côté de ses faux, des œuvres réalisées par sa fille Jeanne, vers 1895, portent légitimement la signature Sisley
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L'art de Sisley Sisley est aujourd’hui considéré comme l’impressionniste même : l’essentiel de son inspiration c’est le paysage. Les personnages dans ses peintures ne sont que des silhouettes ; en outre les portraits de ses proches (femme et enfants) et les quelques natures mortes sont rares . Selon Gustave Geffroy, l’un de ses premiers historiographes, Sisley vouait en effet un amour instinctif au paysage. Pour lui il n’y avait dans la nature rien de laid dès lors qu’il s’agissait du rapport entre le ciel et la terre. Sisley écrivit : « toutes les choses respirent et s’épanouissent dans une riche et féconde atmosphère qui distribue et équilibre la lumière, établit l’harmonie ». Pour le critique d'art Raymond Cogniat, « l'espace de Sisley respecte les trois dimensions et la troisième, en exprimant la fuite vers le lointain, en suggérant des prolongements à droite et à gauche, crée bien cette impression de fenêtre ouverte par laquelle on a parfois défini l'Impressionnisme ».
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L'Aqueduc de Marly (1874),Toledo, musée d'art de Toledo. Le pont de Villeneuve-la-Garenne (1872), New York , Metropolitan Museum of Art. Nature morte (vers 1880),Boston, musée des beaux-arts.
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Bord de Seine en automne (1879), Francfort-sur-le-Main,Städel. Alfred Sisley, Le Pont de Moret, effet d’orage (1887), Le Havre, musée d'art moderne André-Malraux. Alfred Sisley, La Place du Chenil à Marly, effet de neige (1876), musée des beaux-arts de Rouen.
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Alfred Sisley, La Seine au point du jour (1877), Le Havre, musée d'art moderne André-Malraux. Sisley- Chemin de la Machine Louveciennes
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Sisley-Route de Louveciennes Sisley-Snow on the Road Louveciennes
Старинная английская баллада “Greensleeves” («Зеленые рукава»)
Как я избавился от обидчивости
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