Реферат "Мой космический дневник" написан на французском языке. Тема выбрана ученицей не случайно: 2011 год -год 50 - летия со дня первого полёта человека в космос. Тема актуальна, интересна для учащихся не только старших классов. К работе добавлены краеведческие материалы по Владимирской области.
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Муниципальное общеобразовательное учреждение
средняя школа № 36 города Владимира
fait par Kozlova Nathalie
élève de 10 e,
de l‘école №36
Vladimir
ville de Vladimir
L’analyse.
Mon journal spatial
2011
Plan:
Mon journal spatial
Aux étoiles j’ai dit un soir:
« Vous ne paraissez pas heureuses;
Vos lueurs, dans l’infini noir,
Ont des tendresses douloureuses;
« Et je crois voir au firmament
Un deuil blanc mené par des vierges
Qui portent d’innombrables cierges
Et se suivent languissamment.
« Êtes-vous toujours en prière?
Êtes-vous des astres blessés?
Car ce sont des pleurs de lumière,
Non des rayons, que vous versez.
« Vous, les étoiles, les aïeules
Des créatures et des dieux,
Vous avez des pleurs dans les yeux…»
Elles m’ont dit: « Nous sommes seules…
« Chacune de nous est très loin
Des sœurs dont tu la crois voisine;
Sa clarté caressante et fine
Dans sa patrie est sans témoin;
« Et l’intime ardeur de ses flammes
Expire aux cieux indifférents».
Je leur ai dit: « Je vous comprends !
Car vous ressemblez à des âmes:
« Ainsi que vous, chacune luit
Loin des sœurs qui semblent près d’elle,
Et la solitaire immortelle
Brûle en silence dans la nuit».
1. L’histoire du développement de la science, de la technique et de toute la civilisation connaît beaucoup de découvertes brilliantes. Mais ce sont vraiment quelques - unes de ces découvertes qui sont devenues les tournants de l’histoire du progès.
Le rêve de voler en dehors de notre planète donnait les perspectives très nettes dans l’avenir. Au debut du XXe siècle Tsiolkovski a écrit: «… j’éspère que mes travaux donneront des tas de pains et de puissance à la société».
Les chroniques de l’envahissement du cosmos gardent beaucoup de projets. Parfois ils sont naïfs et faux mais ils sont toujours ravissants de leur audace. Ils témoignent d’un immense désir de lancer quelque chose créée par les mains humaines dans les cieux. Rappelons – nous d’une belle légende d’Ikar, «des fantaisies cosmiques» de F.Godwin, «des chars volants» de Wilkins, d’une immences bonbonne avec une rose imaginées par Cyrano de Bergerac , de la fameuse «Columbide» de Jules Verne… L’âme turbulente des rêveurs frénétiques bouillonnait des tas d’idées.
L’ère cosmique… Elle a commencé en 1957 avec le lancement du spoutnik soviétique…
Les dernières annèes nous avons appris beaucoup de nouveaux sur des planèts et des étoiles sur leurs grandeur, leurs poids, leur constitution , leur vitesse de la révolution autour du Soleil sur le système solaire..
2. Le système solaire est composé d’un astre central, le Soleil et de neuf grandes planètes qui tournent autout du Soleil par d’immenses ellipses. Les planètes de notre système solaire sont sur une orbite elliptique qui est, à l'exception de Mercure et Pluton (qui ne serait plus une planète), quasi circulaire et dont le Soleil est un des foyers.
Les planèts portent des noms des dieux romains et grecs: Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune, Pluton et, bien sûr, notre Terre.
Le Soleil c’est un Astre qui produit la lumierè du jour; il a 1392000 km de diamètre.
Le Mercure est la planète la plus proche du Soleil. Il porte le nom du dieu romain assimilé a Hermès; a 4880 km de diamèter; il est situé à 57,9 millions km du Soleil.
La Vénus est la deuxième planète du système solaire et porte le nom de la déesse de l’Amour. Elle a 12104 km de diamètre; elle se trouve à 108,2 millions km du Soleil.
3 Terre est la planète du système solaire, habitée par l’espèce humaine ; a km de diameter et un satellite ; à du Soleil.
La Terre est la troisième planète du Système solaire par ordre de distance croissante au Soleil (149.6 millions km), et la quatrième par taille (12756 km) et par masse croissantes (5,9736×1024 kg). Il s'agit de la plus grande et la plus massive des quatre planètes telluriques, les trois autres étant Mercure, Vénus et Mars. Elle possède un satellite naturel, la Lune, qui est le cinquième plus gros satellite du Système solaire. Elle est dotée d'un puissant champ magnétique qui dirige vers les pôles les particules chargées véhiculées par le vent solaire, y provoquant des aurores polaires et générant des ceintures de radiations concentriques autour du globe résultant de l'accumulation de ces particules piégées dans le champ magnétique de la Terre. La magnétosphère agit ainsi comme un bouclier protégeant notre planète du vent solaire. Couramment appelée en français Terre, planète Terre, planète bleue ou encore MondeNote 2, c'est une planète à manteau actif, dotée d'une atmosphère comportant du dioxygène, et recouverte d'eau liquide.
Le Mars est une planète du système solaire qui porte le nom du dieu de la Guerre dans la mythologie romaine. Cette planète a 6787 km de diamètre et 2 satellites. Elle est à 227,9 millons km du Soleil.
Le Jupiter est la cinquième planète du système solaire. Il porte le nom du dieu romain, maître du panthéon, assimilé au Zeus grec. Le Jupiter a 142796 km de diamèter et a aussi 16 satellites. Il se trouve à 778,3 millions km du Soleil.
Le Saturne est la planète du système solaire entourée de toute un système d’anneaux . Il porte le nom de la divinité italique identifiée au Cronos de Grecs. Il a 120000 km de diameter et 15 satellites. Il est à 2869,7 millions km du Soleil. L’Uranus est la septième planète entourée du système solaire. Il a 51200 km de diamètre et 15 satellites. Uranus se trouve à 2869,7 millions km du Soleil.
Le Neptune est la plus lointaine des planètes du système solaire. Il porte le nom du dieu romain de la Mer. Il a 49500 km de diamètre et 8 satellites. Il est situé à 4496,5 millions km du Soleil.
Le Pluton est la plus petite des planètes du système solaire qui porte le nom du dieu des Morts dans la mythologie romaine. Il a 2200 km de diamètre et un satellite. Il est situé à 5900 millions km du Soleil.
Le système solaire avec dec millions d'autres systèmes d'étoiles forme la «Voie lactée». La Voie lactée, appelée aussi « notre galaxie », ou parfois simplement «la Galaxie», avec une majuscule, est le nom de la galaxie dans laquelle se situe le Système solaire (dont la Terre, notamment). Elle est partiellement visible dans de bonnes conditions d’observation (absence de pollution lumineuse), notamment sous les tropiques, sous la forme d’une bande plus claire dans le ciel nocturne.
Maintenant,donnons quelques termes nécessaires pour bien comprendre le contenu ci-dessous:
planète (f) - corps céleste gravitant autour du Soleil ou d'une étoile;
orbite (f) - trajectoire d'un corps céleste, naturel ou artificiel, autour d'un autre;
satellite (m) - astre qui gravite autour d'une planète;
lune (f) - corps céleste ,satellite de la Terre et qui l' éclaire la nuit;
spoutnik (m) - satellite artificiel, un terme qui devient répendu après le lancement du «Spoutnik» soviétique en 1957;
asteroïde (m) - petite planète ;
solaire (adj) - relatif au Soleil;
galaxie(f) - vaste ensemble dynamique d'étoiles et de matière interstellaire;
station (f) orbitale - installation destinée à effectuer des observations sur l'orbite de la Terre;
fussée (f) - engin spatial, projectile propulsé par la force d'expansion du gaz résultant de la combustion d'un carburant.
Aujourd'hui nous connaissons que l'astronautique influence beaucoup les affaires terrestres et qu'elle a une grande signification pratique. Les spoutniks, les fusées-sondes, les vaisseaux pilotés et les stations ont découverts à l'humanité beaucoup de nouveaux sur la Terre. Les spoutniks et et les stations orbitales sont de vrais travailleurs de cosmos. Ils nous font savoir les cours dans l'océan, les cours d'air qui mettent en marche toute "une machine perpétuelle".
Les spoutniks deviennent de plus en plus spécialisés:
- les spoutnik géologiques cherchent les richesses souterraines;
- les spoutnik géodésiques aident à faire le levé exacte de la Terre;
- les spoutnik de communication ont établi les ponts de télé entre les continents; ils ont lié les coins les plus éloignés de notre planète par les chaînes de radio et de téléphone.
Les stations orbitales permettent de poursuivre de longues observations complexes dans les intérêts de la science et de l'économie.
Chaque année l’astronautique élargit les bornes de son activité, de différentes dirrections de recherches extraterrestres deviennent de plus en plus nombreuses, les programmes sont de plus en plus compliqués.
A présent, la diversité des problèmes scientifiques et pratiques dans le domaine du cosmos exigent de grandes dépenses économiques, du potentiel technique très haut et des cadres qualifiés.
Voilà pourquoi il existe des conditions réeles pour réaliser les experiences et les recherches cosmiques sur la base internationale.
3. La coopération franco-russe.
Voilà quelques pages dans l'histoire de la coopération franco-russe dans l'espace cosmique.
En 1966 pendant la visite du président de la République française général Charles de Gaulle «L'accord de la coopération dans les études de l'espace cosmique dans les objectifs de paix» entre l'URSS et la France a été signé.
En 1967 les travaux communs ont été commencé. En conformité de l'accord les savants ont réalisé des expériences pour étudier la thermosphère polaire.
En 1968 une série d'expériences effectuées par les savants de l'institut du magnetisme terrestre, de l'ionosphère et de la diffusion de l'Académie des Sciences de l'URSS et du centre d'études de l'irradiation cosmique à Toulouse a reçu le nom d' «Oméga».
En janvier - mars 1969 les études en commun ont été continuées. Les lancements des aerostats se poursuivaient. Les expériences franco-soviétiques ont été réalisées à l’áide de quatre fusées françaises. C'étaient les expériences de la fixation du composé chimique de la haute atmosphère.
En févries - mars 1970 les savants soviétiques et français ont effectué toute une serie d'études aérostatiques d'après le projet «Oméga».
En février - mars 1971 on a continué les expériences prévues par le programme «Oméga-2».
Le 27 décembre 1971 en réalisant le projet franco-soviétique «Arcade-1» on a lancé le satellite artificiel de la Terre «Auréol».
Le 4 avril 1972 la fussée a mis en orbite le spoutnik de communication soviétique «Éclair-1» et le spoutnik technologiques français «MAC-1».
On a installé les appareils scientifiques pour étudier les petites parties des énergies dans les couches extérieures de la magnitosphère et pour étudier des neutrons et des rayons - gamma qui viennent du Soleil.
Le 8 janvier 1973 la station automatique interplanétaire «Lune-21» prend le départ. Le programme du vol a pour son objectif de fournir un appareil automoteur muni du réverbère laser sur la Lune. Cet appareil a été fabriqué par les spécialistes français pour continuer des expériences de location de laser. Les expériences ont permis de mesurer la distance entre les formations superficieles de la Terre et celles de la Lune. En basant sur les calcul on pouvait juger du déplacement des continentes sur notre planète. On a résolu des problemes géodésiques.
Au bord de la station automatique interplanétaire «Mars-5» lancée le 25 juillet 1973 ont été installés les polarimètres photoélectriques à l'aide desquels on a réalisé une série de mesures de la surfase de Mars.
Le programme d'expériences «Stéréo-5» a continué le travail des spécialistes français et soviétiques sur lés études de la tendance des rayonnements du Soleil.
En février - mars 1974 en cadres du projets «Sambo» on a effectué les lancements des aérostats scientifiques français avec les appareils soviétiques et français. Les expériences en complex avec les recherches sur la Terre ont permis de préciser la vue physique de l'évolution des perturbations magnétiques.
Le 15 et le 26 février 1975 sur les ĩles Kerguelen la fusée géophisique française «Éridan» a été lancée. Dans cette expérience on a utilisé le méthode actif et principalement nouveau du recherche dans les points magnétoconjuguées de la Terre.
En juillet 1975 un satellite autonome français «MAC-2» a été lancé par la fusée soviétique. Le satellite a été destiné pour rechercher l'éfficacité du systéme de radiation de refroidissement dans l'espace cosmique.
Le novembre et le décembre 1975 c’est la date de la premieré expérience franco-sovétique radio-biologique préparée dans le dommaine de spatialité. «Biobloc» est réalisé par le spoutnik biologique soviétique «Cosmos-782».
De 9 à 14 octobre 1976 on a fait l'épreuve des chaînes vidéo et sonores dans les lignes de communication «Moscou-Paris» par le spoutnik «Éclaire-2».
En 1978 au bord du complexe orbital «Salut-6», en correspondance du programme biologique les savants russes et français ont fait l'expérience «Citos» pour étudier l'influencement des facteurs du vol cosmique sur le développement des protozoaires et sur la cinétique de la division cellulaire des microorganismes.
En janvier - mars 1987 les spécialistes de deux pays ont réalisé une expérience pour étudier l'action réciproque des phénomène de l'ionosphère et de la magnétosphère. Les collectifs scientifique de l'URSS, de la Suède, de l'Auteriche ont pris part dans ces travaux.
En Avril 1979 le président de la république, monsieur Valéry Giscard d'Estaing effectue une visite officielle en Union Soviétique. Au cours des entretiens qu'il a avec monsieur Brejnev, celui-ci propose de faire participer un cosmonaute français à un voyage dans l'espace avec une équipe soviétique. C'est la première fois que l'Union soviétique propose à un pays non communiste une participation à ses vols spatiaux. Il lui a été répondu que cette offre serait étudiée dans «un esprit positif».
En octobre 1979 au cours de la réunion annuaire qui a lieu à Ajaccio (Corse) les spésialistes de deux pays ont discuté les questions de la réalisation du programme scientifique du vol collectif au bord du vaisseau russe et de la station orbitale.
A la fin de l'année 1979 le Centre Nationale d'Études Spatiales de France a annoncé le concours des candidats au vol collectif franco-soviétique.
Le 1 mars 1980 CNES a choisi 5 candidats parmi lesquels il y avait une femme.
En mai - juin 1980 a eu lieu tout une série de lancements des fusées météoroloques soviétiques du polygon français des ĩles Kerguelen. Leur objectif est d'examiner les parametres de hautes couches de l'atmosphère, des champs électriques de la Terre.
Le 8 décembre 1980 les deux premières cosmonautes français Jean-Loup Chrétien et Patrick Bodry sont arrivés dans la Cité des étoiles pour se préparer au vol cosmique franco-russe.
La Cité des étoiles est un lieu très célèbres, en Russe. C'est là que tous les cosmonautes de l'ex -Union Soviétique s'entraîne pour leurs vols spatiaux. Située près de Moscou, au centre d'une forêt de bouleaux et d'épicéas,cette veritable ville héberge les familles des cosmonautes et celles des scientifiques qui les forment,au totale ca fait 4500 personnes.
Dans la Cité des étoiles, près de l'entrée dans le palais de la culture se dresee une sculpture: un cosmonaute voguant dans un ovale recourbé d'une façon fantastique. Cet ovale, le ruban de Meubius,
symbolise l'infini. En effet , les audaces dans l'océan des étoiles sont illimités comme cet océan, lui-même. La nature a doué l'homme d'une qualité merveilleuse,de la soif des connaissances qui lui emmène toujours dans les lointains inconnus, dans la voie difficile des recherches et des découvertes.
Le 11 juin 1982 la Cité des étoiles a reconduit les 6 cosmonautes au Baïkonour. C'etaient deux équipages, le principal et celui de la réserve. Qui sont ces six personnes?
L’équipage principiale:
Le commandant de l’équipage Vladimir Alexandrovitch Djanibekov est aussi major-général de l’aviation, deux fois Héros de l’URSS.
L’ngénieur de vol, cosmonaute de l'URSS, Héros de l'Union Soviétique, Alexandre Ivantchenkoff.
Le spationaute français,colonel, ingénieur de l'École de l'air de France Jean -Loup Chrétien.
Le deuxième équipage:
Le commandant de l’équipage Léonide Kizime est colonel de l’aviation de l'URSS, Héros de l'Union Soviétique.
L’ngénieur de vol Vladimir Soloviov est ingénieur-constructeur.
Le spationaute français Patrick Bodry .
Qui sont ces deux Français qui sont devenus membres des équipages? Où sont-ils nés? Où ont-ils grandi? Pourqoi ils sont venus dans l'astronautique?
J.-L.Chrétien est né en 1938 à La Rochelle. Il a suivi son cursus scolaire à l'école communale de Ploujean, au collège Saint – Charles et au lycée Notre Dame du Mur à Morlaix. Titulaire d'une maîtrise en Génie aéronautique et ingénieur de l'École de l'air en 1961 Jean Loup Chrétien est pilote d’essai au Centre d’ essai en vol d’Istres de 1970 à 1977.
Jean-Loup Chrétien est sélectionné comme astronaute au CNES en 1980.
Mission PVH (1982) Après un entraînement de deux ans à la Cité des étoiles pour préparer la mission franco-soviétique PVH (Premier Vol Habité), Jean Loup Chrétien effectue 189 heures de vol spatial à bord du vaisseau Soyouz T - 6 et de la station Saliout 7 du 25 juin au 2 juillet 1982. Patrick Bodry est sa doublure. Il est le premier Français et le premier Européen de l'Ouest dans l'espace en 1982 (lors de la mission franco-russe PVH). Il est également le premier non-russe et non-américain à effectuer une sortie extravéhiculaire dans l'espace.
Il habite au nord de la France, en Bretagne. Sa famille est grande, il est le père des quatres fils. Il a aussi une fille de son second mariage avec une Américaine. Le journal «Parisien libéré» lui a donné une caractéristique suivante: «Un officier aux cheveux ras, à la taille sportive, au regard de fer, dans le costume austère et presque inabordable déjà aujourd'huit, un vrai austronaute».
Jean-Lou est sociable, souriant, il aime la musique, il a même apporté son harmonium dans la Cité des étoiles pour «jouer devant ses amis soviétique». La musique n'est pas son hobby unique. Il se passionne des yachts, des skis nautiques, des prises de vues.
Aujourd’hui Jean-Loup Chrétien est vice-président du département recherche et développement de Tietronix Software Inc. Jean-Loup Chretien est aussi Président de Eclipse Aéro, société basée à Lannion, qui gère ses activités de conférencier et de Pilote Professionnel. Ses conférences portent aussi bien sur son expérience aéro-spatiale que l'avenir de l'homme dans l'espace ou encore sur les hautes technologies. Il est membre de l'Académie de l'air et de l'espace, de l'association des explorateurs de l'espace, de l'association des astronautes européens, de l'American Institute of Aeronautics and Astronautics et de de l'International Academy of Aeronautics. Président d'honneur de 3i3s (International Independent Institut for Space Satellite Solutions) pour l'année 2010. Il totalise plus de 10 000 heures de vol sur de nombreux types d'avion. Il a été pendant cinq ans président de la Société d'encouragement au progrès. Il est commandeur de la Légion d’honneur.
Il y a aussi un collège à Questembert, en Bretagne qui porte son nom, ainsi qu'une école primaire à Prémesques, dans le département de Nord. Il a été élu Breton de l'année par Armor magazine en 1997.
Jean-Loup Chretien: «Le vol spatial c'est un grand travail sérieux. Nous sommes obligés de changer, nos anciennes représentations. Tout était beaucoup plus compliqué et plus intéressant. Ce sont la capacité d’ être heureux et de chasser le chagrin qui m’aident dans les moments difficiles des essors et des chutes. L’arrivée en URSS, dans la Cité des étoiles; nous sommes deux mais nous ne sommes pas les concurrents. Et je suis heureux d'avoir la possibilité desurmonter tout cela. Ici, dans la Cité des Etoiles j’ai trouvé de nouveux amis, j’ai appris à jouer au tennis, j’ai compris «les sagesses du dictionnaire spatial».
Moscou est belle. Je l'ai aimé en robe d'été et en celle d'hiver. Les théâtres, les salles de concerts, les expositions, tout ça est magnifique...C'est une ville d'une grande culture, d'un grand art. La perspective de devenir un représentant de la profession presque inconnu en France, elle fait naître les sentiments inexprimables. Une seule pensée me réchauffe mon cœur, réveille mon orgueil et ma gratitude... Celle d'être le premier Français qui va effectuer le vol spatial».
Patrick Pierre Roger Baudry, né à Douala (Cameroun) le 6 mars 1946 est un astronaute français du CNES. Il suit une filière scientifique, du lycée militaire d’Autun, au Prytanée national militaire de la Flèche, puis en Mathématiques spéciales au Lycée Chaptal à Paris, avant d’entrer à l’École de l'air, en 1967, et d’en sortir, titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’Air et officier de l’Armée de l’air en 1969. Breveté pilote de chasse en 1970, il est successivement pilote sur F-100 Super Sabre et sur Jaguar, puis commandant d'escadrille. Il effectue de nombreuses missions opérationnelles dans plusieurs pays. Retenu en 1978 pour suivre le cursus de l'École des Pilotes d'essai britanniques "l'Empire Test Pilot School" à Boscomb Down (Royaume-Uni), il reçoit le Patuxent River Trophy des mains du Prince Charles. Affecté comme pilote d'essai au Centre d'Essais en Vol de Brétigny-sur-Orge, il effectue des vols d'essais sur tous types d'avions, de chasse et de transport. Sélectionné en 1980 par le Centre National d'Etudes Spatiales pour former le premier groupe de cosmonautes français avec Jean-Loup Chrétien, il va alors suivre l'entraînement des cosmonautes soviétiques à la Cité des étoiles près de Moscou, jusqu'en 1982. Il est qualifié sur les vaisseaux spatiaux russes Soyouz-T et Saliout 7, et devient membre du deuxième équipage pour le premier vol spatial franco-soviétique. Pour ce vol spatial, il a été formé pour effectuer des expériences scientifiques dans des domaines tels que la physiologie, la biologie, l'astronomie, l'astrophysique et l'élaboration de matériaux dans l'Espace.
En 1986, Patrick Baudry est nommé conseiller pour les vols habités auprès du président d'Aérospatiale. Il participe au programme Hermès en tant que pilote d'essai de l'avion spatial européen, jusqu'à l'arrêt de ce programme.
Il rejoint alors les essais en vol d'Airbus Industrie où il participe au développement des différents modèles, et effectue des présentations en vol lors des grands salons mondiaux: Le Bourget, Farnborough, Moscou, Berlin, Santiago du Chili, Acapulco, Djakarta, Dubaï, etc...
Membre fondateur et président de l'association des astronautes européens, il est également membre du comité exécutif de l'Association des explorateurs de l'espace, membre de l'académie internationale d'astronautique, membre de l'Académie de l'air et de l'espace.
Il crée, également, en 1990 ACADIS (Académie Internationale Privée d’Enseignement Secondaire et Supérieur), établissement scolaire privé, à Bordeaux pour que les élèves en difficulté ou très doués, puissent disposer, dans des classes à faibles effectifs, d’un enseignement ciblé qui leur convienne.
Cherchant sans cesse à dépasser ses propres limites, il est l’instigateur et un membre très actif d’un certain nombre de projets plus aventureux. Il participe avec Patrick Fourticq et Henri Pescarolo en Lookheed L-18 à la Route de la Vanille, puis, la même année, en 1988, il tente de battre le record de la traversée Sud-Nord de l’Afrique – le Cap-Alger – en automobile en équipage avec René Metge et Nicolas Hulot. En 1990, Il faut compter au nombre de ses exploits, la tentative de battre le record de la traversée de l’Atlantique en bateau à moteur - BLUE RIBBON - tentative organisée par Roger Caille, le Président de Jet Services, avec Serge Madec comme commandant. En 1998, voulant suivre les traces de Mermoz, il effectue, à bord d’un Catalina des années 1930, un raid sur les traces de l’Aéropostale, suivi par des milliers d’enfants de tous les pays parcourus, avec Patrick Fourticq et Franklin Devaux, et dont les différentes étapes furent diffusées tous les jours au journal de TF1 à 13 Heures, pendant toute la durée de l’opération.
Il a également écrit de nombreux ouvrages traitant de sujets aussi bien techniques, scientifiques, que philosophiques ou encore humanistes. Très impliqué dans de nombreuses actions envers l’éducation des enfants dans le monde, il est membre de l’UVA – Université Virtuelle Africaine - qui diplôme des étudiants qui auraient difficilement accès à des études supérieures, par le biais de Vidéos Conférences en liaison avec différentes grandes Universités dans le monde. II a été nommé, en 1998, Ambassadeur de bonne volonté de l’UNESCO, et Envoyé Spécial pour "La Paix et les Enfants". Passionné de sports, il en a pratiqué un grand nombre, dont le rugby, le basket, l’athlétisme, la compétition moto, le squash, le tennis, le marathon et la plongée sous-marine, et il est, depuis 2000, Membre du Comité Exécutif de la « Fondation pour la trêve Olympique» émanation du C.I.O.
Patrick Baudry est aujourd’hui écrivain, conférencier, consultant en activités aéronautiques et spatiales. Ses activités aujourd’hui sont réparties entre les Conférences qu’il donne pour des entreprises ou des particuliers, des missions de conseil ou d’expertise, en France et à l’étranger. Quelques projets de plus belle envergure et des missions pour l’UNESCO finissent de remplir son agenda.
Maintenant, il habite au sud de France, à Bordeau. Il est marié, sa fille Mélodie a fréquenté le jardin d'enfants de la Cité des étoiles еt elle a parlé français d'une façon merveilleuse à ses 6 ans.
Patrick est très sportif, il adore la moto, les skis... Il joue au football avec plaisir. La presse française remarque que sa figure n’est pas pareille à celle d'un cosmonaute: mince, élégant, il suit la mode. Mais le scaphandre spatial change tout de suite son image. Il pense plus de l’avenir que du passé: «Je comprends très bien toutes les difficultés qui sont devant nous. Le vaisseau spatial ce n'est pas un avion. Mais il faut posséder d'un esprit de pilote pour gagner. Je rêve que mes compatriotes vont effectuer les vols cosmiques...au bord d'un vaisseau français. Car chacun de nous rêve des ces vols dès son enfance».
La coopération franco-russe continue à se développer. Et en 1991 les 2 cosmonautes français du CNES, Michel Tognini à et Jean-Pierre Haigneré, ont préparé la mission "Antarès". Leur objectif: «MIR», la station orbitale soviétique qui tourne autour de la Terre, à 350 kilomètres d'altitude. La station spatiale russe MIR pèse 90 tonnes. Un voyage de quatorze jours dans l'espace.
Voilà ce que Tognini se souvient de son vol: «Il y aura trois moments assez sensibles dans notre vol spatial : le décollage, l'arrimage à la station orbitale MIR et le retour sur Terre.
Mais, en cas d'explosion au décollage, nous disposons d'un système de secours. Une tour de sauvetage éjecte le vasseau en dehors de la boule de feu. Si l'arrimage échoue nous disposons de suffisamment de carburant, pour en second. Enfin lors de l'atterrissage la capsule est équipée de deux parachutes dont un est de secours. D'une manière générale chaque système susceptible de tomber en panne est doublé.
On se nourrit principelement de produits lyophilisé que l'on réhydrate avec l'eau du bord. Nous avons mangé des consrves et utilisé beaucoup de produits en tube, comme des soupes ou des jus de fruit. Bien sûr, nous avons emporté avec nous de produits frais, comme des citrons, des pêches, des pommes.
A bord, il y a un problème de place, car le matériel embarqué pour les expérieces est souvent volumineux...Alors, les cosmonautes dorment là où il y a de place, c'est - à- dire souvent au plafond, ou à la verticale."
En novembre 1994 Jean-François Clervoy a passé 11 jours à l' espace, à bord de la navette spatiale américaine Atlantis. Il a raconté ses impressions au journaliste:
J: Qu'est-ce que avez vu en orbite?
J.-F.C.: Sous nos pieds la Terre était plongée dans le noir. Devant nous s'étendait l'Europe, éclairée par le coucher de soleil. Je voyais très bien les Alpes avec ses glaciers. Au loin, je distinguais la courbure de la Terre. L'horizont était d'un bleu luminescent, c'était beau. Face à un tel spectacle, on éprouve un immense respect et une grande admiration pour la beauté, la grandeur et la force de la Nature.
J'avais conscience que la Terre est un monde vivant. Au - dessus du Pacifique, nous percevions les courants marins. Je voyais la boue charriée par le Gange. Je repérais aussi les villes: Moscou de la taille d'une noix, ou Tokyo, dix fois plus étendu. Je voyais la traînée des avions et le sillage des navires...
J: Commen vous sentiez-vous physiquement?
J.-F.C.: Sans la gravité terrestre, le sang afflue à la tête il se répartit de façon uniforme dans le corps. On ressent un peu la même chose lorsqu'on se pend la tête en bas. Mais là ça dure 24 heures sur 24. La première journée, je me suis forcé à être calme. Le reste du vol, je me suis senti bien.
J: Aviez-vous emporté des objets personnels?
J.-F.C.: J'avais emporté six CD. J' écoutais «Le Grand Bleu» en affectuant ma musculation sur le vélo du bord et en regardant la Terre défiler. J'avais l'impréssion de pédaler autour de la Terre.C'était grandiose!
En 1995-1996 Claude André-Deshays s'ést entraînée à la Cité des étoiles pour la mission «Cassiopée». Elle est devenue la première Française dans l'espace. Au cours de l'été 1996, Claudie André- Deshays s'est envolée à bord d'un vaiseau «Soyouz» pour vivre 15 jours dans l'espace à bord de la station russe « MIR». Elle parle de sa préparation au vol: «Notre entraînement a duré 18 mois. Nous suivions 8 heures de cours par jour à laCité des étoiles, à Moscou, en Russie. J’y passais mes soirée et mes week-ends car je devais être fin prête.Nous avons suivi une formation théorique pour comprendre le milieu dans lequel nous allions évoluer. Nous avons appris les systèmes du vaisseau «Soyouz» qui va nous emmener et de la station orbitale «MIR». Les cours comportaient des passages au tableau noir, mais aussi des passages en simulateurs de vol. Tout était en russe et aujourd'hui, je la parle mieu que l'anglais qui était ma seconde langue après le français.
Notre formation pour la mission «Cassiopée» a commencé en novembre 1995-1996. Avec les deux collègues de mon équipage, nous avons répété toute la mission, du décollage à l'atterissage. Je révisais le déroulement du programme scientifique. Nous avions 4 à 6 heures de sport par semaine. C'était indispensable pour préparer notre organisme aux conditions du lancement de la fusée, nous avons effectué des tests dans une centrifugeuse: une cabine de pilotage qui tourne au bout d'un bras. En pleine accélération, ma main pèse 5 fois son poids... Pour aller toucher un bouton du tableau de commande,c'est très difficile. Juste avant le vol nous étions isolés et strictement contrôlés. Il falait éviter d'emmener des microbes ou des virus dans la station».
La troisième puissance spatiale au monde, la France est un seul pays possédant son cosmodrome dans la zone équatoriale, idéale pour le lancement des fusées vers l'orbite terrestre. Tout en déployant le côté commercial des vols spatiaux, la France œuvre pour le développement des industries de haute technologie, notamment en matière des lanceurs dont la fusée Ariane qui vit actuellement sa cinquième génération, en est un meilleur exemple du succès technique face à la concurrence des lanceurs russes et américains.
4. Valeri Nikolaïevitch Koubassov est un cosmonaute soviétique né le 7 janvier 1935.
Ses missions réalisées:
1). Soyouz 6, le 11 octobre 1969, ingénieur de vol;
2). Soyouz 19 dans le cadre du projet Apollo-Soyouz 2. Ce vol spatial est la première mission spatiale conjointe entre l'Union soviétique et les États-Unis et a permis la réunion des deux vaisseaux Soyouz et Apollo. Koubassov est ingénieur de vol et est accompagné du commandant Alexei Léonov. La mission a nécessité une préparation intensive avec plusieurs voyages d'entraînements aux États-Unis. Le lancement de cette mission est effectué le 15 juillet 1975 du Cosmodrome de Baïkonour. Il s'agissait du premier lancement soviétique diffusé en direct à la télévision.
Apollo-Soyouz (souvent abrégé en ASTP pour Apollo-Soyouz Test Project pour les Américains, correspond à la mission Soyouz 19 pour les Soviétiques) a été en 1975 la première mission spatiale conjointe entre l'Union soviétique et les États-Unis après qu'ils se sont affrontés pendant la guerre froide dans la course à la Lune.
Contexte historique:
En 1972, trois ans après les premiers pas sur la Lune effectués par l'équipage d'Apollo 11, la conquête spatiale est une priorité moindre pour les deux Grands. Les années 1970 marquent une détente dans les relations Est-Ouest qui se traduit par une coopération économique mais également dans le domaine spatial. Le 24 mai 1972 est la date de ratification du projet de procéder à un rendez-vous orbital entre les vaisseaux Apollo et Soyouz. Il coûtera 250 millions de dollars aux États-Unis et à l’Union soviétique.
La mission Apollo-Soyouz restera gravée comme un événement historique précurseur dans le genre avec une mise en commun des technologies. L’image de rapprochement des deux vaisseaux a fait le tour du monde grâce à la télévision et à la presse écrite. La plus grande réussite de cette mission n’est pas technique, mais bien politique, puisqu'il permet aux opinions publiques des deux camps de se rendre compte que Soviétiques et Américains pouvaient trouver des sujets d’entente. Ce type d’expérience de mise en commun de technologies se répètera en 1996 avec la visite de la navette spatiale américaine à la station spatiale Mir puis la création commune de la Station spatiale internationale.
Vaisseaux et équipages:
Union soviétique: La mission soviétique est la mission Soyouz 19, avec un équipage de deux personnes :
Alexei Léonov, commandant, 41 ans
Valery Koubassov, ingénieur de vol, 41 ans
États-Unis: Les États-Unis utiliseront pour cette mission leur dernière fusée Saturn IB disponible, qui emportera un équipage de trois personnes :
Thomas Stafford, commandant, 44 ans
Vance DeVoe Brand, pilote du CSM, 44 ans
Donald Kent Slayton, pilote du module d'amarrage, 51 ans
Chronologie de la mission:
15 juillet 1975 à 12:20:03 : décollage de la fusée Soyouz-U depuis Baïkonour
15 juillet à 19:50:00 : décollage de la fusée Saturn IB depuis cap Canaveral
17 juillet à 16:09:00 : 1er amarrage entre les deux vaisseaux, jusqu'au 19 juillet à 12:03:00. (durée : 1 jour, 19h, 54min)
19 juillet à 12:34:00 : second amarrage entre les deux vaisseaux, d'une durée de 2h 52min, sans transfert d'équipage.
21 juillet à 10:50:54 : atterrissage de la capsule soviétique 7K-TM dans les plaines du Kazakhstan. Durée de la mission : 5 jours, 22h, 31min.
25 juillet à 03:18:24 : amerrissage de la capsule américaine Apollo dans l'océan Pacifique. Durée de la mission : 9 jours, 7h, 28min.
3). Soyouz 36, le 26 mai 1980. Séjour à bord de la station Saliout 6, et retour sur le vol Soyouz 35.
En 3 vols, Valery Nikolaïevitch Koubassov a totalisé une durée de mission de 18 jours et 18 heures.
Équipage:
Décollage: Valery Kubasov, Bertalan Farkas de la Hongrie.
Atterrissage: Viktor Gorbatko, Pham Tuan du Viêt Nam.
Paramètres de la mission :
Masse: 6800 kg
Périgée: 197.5 km
Apogée: 281.9 km
Inclinaison: 51.62°
Période: 89.0 minutes
Aujord'huit il habite à Moscou. Dès 1997, il est consultant scientifique de RKK «Energia», candidat dès sciences techniques (1968), lieutenant - colonel de reserve.
Il est deux fois Héros de l'URSS(1969, 1975), il est décoré de 3 Ordres Lénine.Il est décoré de la médaille d’or Tsiolkovski de l’Académie des Sciences de l’URSS, de la médaille d’or Gagarine (FAI), des médailles de la Hongrie, de la Tchèque et de la Yougoslavie. Son buste en bronze est installé dans la ville de Viazniki. Une rue de la ville d’Alexandrov porte son nom. Il est un Citoyen d’honneur des villes Kaliningrad, Kalouga, Vladimir, Viazniki, Karaganda, Arkalyk, New – York, San Francisco, Atlanta et quelques d’autres.
5. Cosmos (n.m.)
1) Étymologie : En grec, monde. Univers. Le Cosmos peut désigner l'Univers. Chez les Grecs, on ne parle pas d'univers mais de κόσμος (kósmos, « monde ordonné» en grec): un monde clos qui a un ordre (par opposition au chaos). Ainsi pour Socrate: « À ce qu’assurent les doctes pythagoriciens, Calliclès, le ciel et la terre, les Dieux et les hommes sont liés entre eux par une communauté, faite d’amitié et de bon arrangement, de sagesse et d’esprit de justice, et c’est la raison pour laquelle, à cet univers, ils donnent, mon camarade, le nom de cosmos, d’arrangement, et non celui de dérangement non plus que de dérèglement. » — Gorgias, 507e - 508a. À la différence des Grecs qui voient dans le Kosmos un ensemble harmonieux et clos sur lui-même, donc une entité en soi, la Bible par contre ne conçoit pas l'univers en dehors de son créateur (Jean 12,31 ; 14,17).
2) Définitions de cosmos:
a).ensemble de tout ce qui peut exister.
b). l'univers, vu comme un système ordonné.
d). espace intersidéral.
3) Synonymes: monde, nature, univers, vide, macrocosme (littéraire, philosophie), tout, espace, air, atmosphère, éther, ciel.
4) Antonymes: microcosme
5) Dérivés:
-cosme
cosmo-
cosmétique
cosmétologie
cosmétologue
cosmodrome
cosmogonie
cosmographie
cosmographique
cosmologie
cosmologique
cosmologue
cosmonaute
cosmopolite
cosmopolitisme
macrocosme
microcosme
6) Locutions avec cosmos:
Air et Cosmos • Amor De Cosmos • Bob Mathias (Cosmos 1999) • Brooklyn station terminus cosmos • Camping Cosmos • Cosmos (lanceur) • Cosmos (mensuel) • Cosmos (plante) • Cosmos (restaurant) • Cosmos (satellite) • Cosmos (émission de télévision) • Cosmos 1 • Cosmos 1999 • Cosmos 419 • Cosmos 557 • Cosmos 954 • Cosmos 96 • Cosmos Incorporated • Globus-Cosmos • Hôtel Cosmos • Jean Cosmos • Jomo Cosmos Football Club • Le Chant du cosmos • Le Fantôme du Cosmos • Les Croisés du cosmos • Les Décalés du cosmos • Liste alphabétique des planètes et autres lieux du cosmos de Valérian et Laureline • Liste des épisodes des Décalés du cosmos • Liste par album des planètes et autres lieux du cosmos de Valérian et Laureline • New York Cosmos • Observatoire du Mont Cosmos • Parc du Soleil et du Cosmos • Prix Cosmos 2000 • Prix international Cosmos • Rock The Cosmos Tour • SP Cosmos • SV Cosmos • Saison 1 de Cosmos 1999 • The Cosmos Rocks • Thunderbirds et l'odyssée du cosmos
7) Le titre est donné en 1880 par A. de Humboldt au livre où il a décrit l'univers.
8) Expressions de cosmos: Envoyer dans le cosmos.
9) Adjectif: Cosmos c’est ce qui est cool et qui a une grande portée
10) Astronautique: Cosmos, est la désignation générique de la majorité des satellites lancés par l'Union soviétique puis la Russie depuis 1962. Elle a aussi été utilisée par d'autres pays. Cosmos, est le nom d'une famille de lanceur russe
11). En botanique les cosmos sont des plantes du genre Cosmos.
12) Cosmos dans les langues:
En français: ensemble de tout ce qui peut exister, l'univers,vu comme un système ordonné, espace intersidéral.
En allemand: All, Kosmos, Natur, Universum, Welt, Weltall, Weltenraum, Weltraum.
En espagnol: cosmos, creación, el cosmos, universo.
En grec: κόσμος, μακρόκοσμος, ο κόσμος, σύμπαν, το σύμπαν.
En anglais: cosmo, cosmos, creation, existence, macrocosm, the cosmos, universe, world.
En turc: dünya, evren, kâinat, kozmos
En roumain: cosmos, cos mosul, lume, univers
En italien: Cosimo, cosmo, Cosmo, creato, macrocosmo, mondo, natura, universalità, universe.
En polonais: kosmos, świat, wszechświat
6. Qu'est-ce que les jeunes connaissent sur l'espace, sur la conquête de l'espace?
Nous avons fait une petite enquête de trois questions parmi les éléves des classes terminales. Voici le bilan :
1. Connaussez-vous la date du premier vol cosmique, des premiers cosmonautes?
61% connaissent la date du premier vol.
79% connaissent le nom Y.Gagarine.
90% connaissent "quelque chose" sur ce sujet.
10% ne connaissent rien.
2. Suivez-vous des événements liés au cosmos?
«Oui» - 21%
«Non» - 79%
3. Êtes-vous «pour» ou «contre» la conquéte du cosmos?
«Pour» - 43%
«Contre» - 12%
«Indifférents» - 45%
Les résultats de l'enquéte donnent une raison de reflechir. Est-ce que les années passées, les crises et les tragédies ont effacé tout le romantisme de la profession du cosmonaute?
Est-ce qu'il y a encore des jeunes qui vont se lancer dans ce métier légendaire? Et qu'est-ce qu'elle donne à l'humanité, cette conquéte suivante de l'espace?
L'espace est un vrai laboratoire. On y peut réaliser des matériaux comme des surpaconducteurs ou certains alligés que l'on ne peut pas faire sur Terre.
En l'absence de pesanteur, il est possible de fabriquer de nouveaux médicaments. Certains, qui sont déjà
utilisés aujourd'huit pour soigner des types de cancer, ont été fabriqués à bord de stations orbitales.
L'espace offre d'autres avantages. C'est un exellent observatoire. En orbite, on peux examiner notre planète, ce qui est primordial pour l'écologie. On peut aussi scruter les étoiles, et avoir aussi une meilleure connaissance de l'Univers. Aujourd'huit on va dans l'espace pour l'utiser. Par exemple, il existe tout un programme pour les écoliers qui a été élaboré par le Ministère des situations extraordinaires. Ce programme prévoit l'observation des migrations des bancs de poissons, l'apparation des trous d'ozone, il permet de fixer les moments du début de l'incendie. Aujourd'hui l'espace a besoin de médecins, de géologues, d'astrophysiciens, d'ingénieurs, de chimistes. C'est-à-dire, le choix des professions liées à l'espace s'est élargi. Le choix des astronautes, lui-aussi, s'est élargi. Mais, il y a toujours les pannes, les catastrophes..
Et en réalité chaque année, le 12 avril, nous célébrons le Jour de la cosmonautique. C'est la fête glorieuse. Ce jour on organise des rencontres avec les cosmonautes, on visite des expositions et des musées dans les grandes villes et on se souvient de ses compatriotes qui ont fait un grand apport dans la cause de la conquête du cosmos.
A propos, notre pays natal est fier d'en avoir un. Cétait le 11 octobre 1969 que Valery Koubassov, natif de Viazniki a volé dans le cosmos à bord de "Soyouze 6". A cette époque - là les cosmoutes étaient par pièce. Koubassov était le 18e. Il a éffectué 3 vols spatiaux.
7. Sourses:
Рисуем кактусы акварелью
Хрюк на ёлке
Стеклянный Человечек
Волшебные звуки ноктюрна
Золотая хохлома